InThe Mood For Love by Paris Street, released 05 March 2013 The party is over and we're the last ones awake Amidst circumstances that help seal our fate I know you know and you know I know too And you know that the liquor provides an excuse Let's exchange kisses and see where this goes Though there's not enough time to take things slow Anticipation will grow IN THE MOOD FOR LOVE IN THE MOOD FOR LOVE IN THE MOOD FOR LOVE IN THE MOOD FOR LOVE IN THE MOOD FOR LOVE IN THE MOOD FOR LOVE IN THE MOOD FOR LOVE IN THE MOOD FOR LOVE 20% offerts IN THE MOOD FOR LOVE 20% offerts IN THE MOOD FOR LOVE 20% offerts IN THE MOOD FOR LOVE 20% offerts IN THE MOOD FOR LOVE 20% offerts IN THE MOOD FOR LOVE 20% offerts IN THE MOOD FOR LOVE 20% offerts IN THE MOOD FOR LOVE 20% offerts IN THE MOOD FOR LOVE 20% offerts IN THE MOOD FOR LOVE 20% offerts IN THE MOOD FOR LOVE 20% offerts IN THE MOOD FOR LOVE 20% offerts IN THE MOOD FOR LOVE 20% offerts IN THE MOOD FOR LOVE 20% offerts IN THE MOOD FOR LOVE 20% offerts IN THE MOOD FOR LOVE 20% offerts IN THE MOOD FOR LOVE 20% offerts IN THE MOOD FOR LOVE Outlet IN THE MOOD FOR LOVE Outlet IN THE MOOD FOR LOVE Outlet IN THE MOOD FOR LOVE Outlet IN THE MOOD FOR LOVE Outlet IN THE MOOD FOR LOVE Outlet IN THE MOOD FOR LOVE Outlet IN THE MOOD FOR LOVE Outlet IN THE MOOD FOR LOVE Exclu IN THE MOOD FOR LOVE Outlet IN THE MOOD FOR LOVE Outlet IN THE MOOD FOR LOVE Outlet IN THE MOOD FOR LOVE Outlet IN THE MOOD FOR LOVE Outlet IN THE MOOD FOR LOVE Outlet IN THE MOOD FOR LOVE
Inthe mood for love / Flagrant Soul sur Radio Campus Paris / 5 février 2022. St Valentin oblige, cette nouvelle émission est l’occasion d’une Battle Royale pour les amoureux transis et les poetic lovers. La team Flagrant Soul s’intéressera aussi à la qualité musicale des chansons parodiques et au trombone, un instrument souvent mésestimé. Comme d’habitude,
© 18/05/2010 à 1233, Mis à jour le 25/05/2010 à 2302 Le cinéaste iranien Abbas Kiarostami revient sur la Croisette avec Copie Conforme, une comédie romantique filmée sous le soleil de Toscane et illuminée par la présence de Juliette Binoche. Un homme et une femme se rencontrent et se séduisent. Une histoire éternelle que conte le cinéma depuis la nuit des temps, mais comme le proclame le héros masculin du film, interprété par le baryton William Shimell, la copie peut parfois être plus pertinente que l’original. Cinéaste iranien acclamé dans de nombreux festivals internationaux, Abbas Kiarostami revient sur une Croisette qu’il a déjà arpentée à de multiples occasions. Palme d’or en 1997 pour le Goût de la cerise, cet expérimentateur cinématographique signe avec Copie conforme le film le plus léger de sa filmographie. Mais pas le moins séduisant, bien au contraire… La suite après cette publicité Une élégance folleLa première séquence du film se situe dans une salle de conférence. Ecrivain légèrement en retard mais séducteur en diable, l'Anglais James vient discuter de son dernier essai, Copie conforme. Des places sont réservées au premier rang et une femme vient s’y installer. Elle chahute un peu, donne son numéro à l'agent de l'auteur et quitte l'endroit. Son jeune enfant a raison. Si elle n’est pas séduite par le propos du livre au contraire de sa soeur Marie, la femme est intriguée par cet essayiste au flegme si britannique. Le lendemain, ils se rencontreront pour une discussion informelle. Si l’argument du film est des plus minces, Abbas Kiarostami a plus d’un tour de magicien dans son sac formel et narratif. Le couple ainsi formé se lance sur les routes de Toscane, devise de l’art et de la copie, de l’importance d’un regard et de la vérité d’un amour. Assiste-t-on à un remake inavoué et adouci de Voyage en Italie de Roberto Rossellini, ou de Before Sunrise de Richard Linklater, romance nocturne dans les rues de Vienne, avec Julie Delpy et Ethan Hawke ? Au jeu amoureux d’un couple qui doit inventer sans cesse des nouvelles formes de séduction ? A une tentative de prouver que dans la vie aussi une copie peut valoir l’original ? En chat persan qui regarde par la fenêtre, faussement endormi et toujours en éveil, Abbas Kiarostami filme ce marivaudage toscan en laissant la parole et les séquences s’écouler, parfois avec humour, souvent avec émotion. C'est futile et essentiel, élégant et sophistiqué. Star malgré elle d’un Festival de Cannes qui en manque cruellement, Juliette Binoche est à la hauteur de la légende, d’une précision chirurgicale dans les nuances psychologiques de son personnage. William Shimell, lui, pour son premier rôle sur grand écran, est plus en retrait, regard en coin et démarche féline. Et si le récit prend le temps de flirter aux terrasses des cafés, un couple de cinéma se forme, le temps d'un séjour en Toscane. Contenus sponsorisés Personnalités Sur le même sujet
ManonGiroux 4 février 2022. +. Dans le long métrage In the mood for love, Wong Kar-Wai nous conte une histoire de vie simple. Deux couples s’installent simultanément dans deux appartements voisins. Peu de temps après cet emménagement, Chow Mo-Wan et Chan Li-Zhen apprennent que leurs époux respectifs entretiennent une liaison. De Wong Kar-wai / Avec Tony Leung Chiu-wai, Maggie Cheung Il se souvient des années passées comme s’il regardait à travers une fenêtre poussiéreuse. Le passé est quelque chose qu’il peut voir, mais qu'il ne peut toucher. Et tout ce qu’il aperçoit est flou et indistinct. » Ce sont sur ces mots que le meilleur film honkongais se clôt. Cette citation est tirée d'une nouvelle de l'écrivain Liu Yi-Chang exemplifiant la technique du courant de conscience, 'Intersection', adaptée ici très librement par Wong Kar-wai qui saisit le rapprochement hésitant de deux amants en devenir dont les chemins se croisent brièvement avant de se séparer de façon très ironique, mais l'on pourrait utiliser la même image pour décrire les réceptions divergentes de ce film sublime qui connut un destin similaire au moment-même où il remportait un succès foudroyant sur tout le marché mondial du cinéma d'art et d'essai et propulsait son réalisateur dans la catégorie des plus grands auteurs au monde encore en vie, ce drame largement primé semblait prêt à sombrer irrévocablement dans l'oubli, éclipsé par sa préquelle consacrée, 'Nos années sauvages', tourné dans la ville natale de Wong et dont le succès s'explique notamment grâce à l'incomparable exploit de ce film des années 1990 qui parvint à réunir six stars majeures dans une expérience narrative élaborée. Pour tout bon critique hongkongais qui se respecte ayant vécu ce phénomène de près, il est quasi impossible de ne pas adorer le bourreau des cœurs interprété par Leslie contrairement à 'Nos années sauvages' – ou même à '2046', qui retrace une fois de plus les innombrables chassés croisés amoureux se déployant au beau milieu de l'équipe du casting et de cette trilogie non-officielle habilement menée donnant à voir le Hong Kong des années 1960 – 'In the Mood for Love' s'attache en priorité à un duo de personnages, à leur rencontre et à l'histoire d'amour qui en découle, rejetant la surcharge émotionnelle typique des deux films précédemment cités. Le résultat est un film tellement simple dans son principe – et tellement sobre et subtil dans son expression – que les moindres regards et mouvements de tête sont condamnés à follement nous émouvoir. L'histoire se déroule en 1962. Voisins de palier dans un immeuble surpeuplé, M. Chow Tony Leung et Mme Chan Maggie Cheung arborant une robe traditionnelle chinoise vont progressivement se rendre compte que leurs conjoints ont une liaison secrète. Suite à cette découverte, ils passent de plus en plus de temps ensemble et jouent avec les émotions de l'autre en répétant des scènes imaginaires de rupture, alternant entre réconfort et masochisme et finissant par aller au bout de leur désir mutuel dans le cadre d'un jeu de rôle imitant leurs partenaires dans de somptueuses couleurs et sublimé par une bande originale hypnotique, le film est habilement façonné par William Chang et immanquablement photographié par Christopher Doyle et Mark Lee Ping-bin, deux des meilleurs directeurs de la photographie au monde. Sous la palette visuelle envoûtante se cache une histoire d'amour refoulée qui trouve son dénouement au beau milieu des ruines d'Angkor Wat – un détail sublime de la narration qui rend 'In the Mood for Love' plus proche de la perfection que nul autre film M. Chow et Mme Chan ont envie d'aimer, mais cela s'arrête quasiment là. Les seules choses qu'ils parviennent à partager sont des regards furtifs, des mots légers et la certitude réconfortante que l'histoire et le passé s'oublient. A noter que ce film fait partie de notre collection des meilleurs films d'amour de l'histoire du cinéma à découvrir ici. Ainsise termine In the Mood for Love de Wong Kar-Wai. Par cet intertitre final il résume la thématique de l’œuvre, traitée avec mélancholie et lyrisme. La dimension imperceptible du temps qui passe, son inévitabilité et sa fatalité, mais aussi et surtout, l’essence éphémère des passions et des rapports humains. Tout le long du film Wong Kar-Wai nous a hypnotisés, il nous a

In the Mood for Love 2000 de Wong Kar-wai, avec Tony Leung Chiu-wai et Maggie Cheung L'histoire se déroule en 1962. Voisins de palier dans un immeuble surpeuplé, M. Chow Tony Leung et Mme Chan Maggie Cheung, arborant une robe traditionnelle chinoise vont progressivement se rendre compte que leurs conjoints ont une liaison secrète. Suite à cette découverte, ils passent de plus en plus de temps ensemble et jouent avec les émotions de l'autre en répétant des scènes imaginaires de rupture, alternant entre réconfort et masochisme et finissant par aller au bout de leur désir mutuel dans le cadre d'un jeu de rôle imitant leurs partenaires infidèles. Baignant dans de somptueuses couleurs et sublimé par une bande originale hypnotique, le film est merveilleusement mis en images par Christopher Doyle et Mark Lee Ping-bin, deux des meilleurs directeurs de la photographie au monde. Sous la palette visuelle envoûtante se cache une histoire d'amour refoulée qui trouve son dénouement au beau milieu des ruines d'Angkor Wat – un détail sublime de la narration qui rend 'In the Mood for Love' plus proche de la perfection que nul autre film hongkongais. Certes, M. Chow et Mme Chan ont envie d'aimer, mais cela s'arrête quasiment là. Les seules choses qu'ils parviennent à partager sont des regards furtifs, des mots légers et la certitude, réconfortante, que l'histoire et le passé s'oublient dans la fugacité des désirs. – AP

833Likes, 27 Comments - Coloring (@colorsofsprings) on Instagram: “Paris in the Blues.. In the Mood for Love.. Regard d’un Soir, où le Blues.. sur le Trottoir”
Par Laura B., Laurent P., Manon C. Publié le 21 juillet 2021 à 10h10 "In The Mood For Love", le chef d'oeuvre de Wong Kar-Wai, s'apprête à ressortir en salle en version restaurée 4K, le 21 juillet 2021. L'un des plus beaux films d'amour de l'histoire du cinéma s'apprête à ressortir en salle, pour le plaisir des cinéphiles qui vont pouvoir le découvrir ou le redécouvrir sur grand écran, 20 ans après sa sortie. Deux décennies après sa sortie initiale, "In The Mood For Love", le chef d'oeuvre de Wong Kar-Wai ressort dans une sélection de salles de cinéma le 21 juillet 2021. En région parisienne, voici les salles où "In The Mood For Love" est projeté Paris Le Balzac, Filmothèque du quartier latin, MK2 Bibliothèque, Les 7 Parnassiens, UGC Ciné Cité les Halles L'Alcazar à Asnières Landowski à Boulogne La Pleïade à Cachan À lire aussiTop des meilleures salles de cinéma de ParisCinéma les films à voir pendant l'été 2022Cinéma semaine du 22 août 2022, programme et sorties"In The Mood For Love" a été restauré en 4K par L’Immagine Ritrovata et Criterion, sous l'oeil avisé du cinéaste Wong Kar-Wai. Allez, on vous rappelle le synopsis de ce film magnifique ? Synopsis Hong Kong, 1962. M. et Mme Chow emménagent dans leur nouvel appartement le même jour que leurs voisins, M. et Mme Chan. Sans comprendre comment cela a commencé, Chow Mo-wan et Chan Li-zhen apprennent que leurs époux respectifs ont une liaison. Cette découverte les choque, mais les rapproche. Ils se voient de plus en plus souvent, mais le voisinage commence à s'en apercevoir. Il semble n'y avoir aucune possibilité pour eux de vivre une relation amoureuse. Mais la retenue, les réserves émotionnelles de Mme Chan hantent M. Chow, qui sent ses sentiments changer. La Bande-Annonce Une ressortie en salle à ne manquer sous aucun prétexte ! Dans quelles salles proches de chez moi est projeté le film In the Mood for Love ?
Noussommes un incubateur pour LES chefs en herbe et gastronomes curieux, un lieu d'expérimentation, un laboratoire d'échanges culturels et de découvertes culinaires. For the Love of Food (FTLOF) est né de l’envie de perturber la hiérarchie et les normes de la restauration avec un seul critère : la passion. FTLOF est un antidote à la
They are in the mood for love, but not in the time and place for it. They look at each other with big damp eyes of yearning and sweetness, and go home to sleep by themselves. Adultery has sullied their lives his wife and her husband are having an affair. "For us to do the same thing," they agree, "would mean we are no better than they are." The key word there is "agree." The fact is, they do not agree. It is simply that neither one has the courage to disagree, and time is passing. He wants to sleep with her and she wants to sleep with him, but they are both bound by the moral stand that each believes the other has taken. You may disagree with my analysis. You may think one is more reluctant than the other. There is room for speculation, because whole continents of emotions go unexplored in Wong Kar-wai's "In the Mood for Love," a lush story of unrequited love that looks the way its songs sound. Many of them are by Nat King Cole, but the instrumental "Green Eyes," suggesting jealousy, is playing when they figure out why her husband and his wife always seem to be away at the same times. His name is Mr. Chow Tony Leung Chiu-wai. Hers is Su Li-zhen Maggie Cheung Man-yuk. In the crowded Hong Kong of 1962, they have rented rooms in apartments next to each other. They are not poor; he's a newspaper reporter, she's an executive assistant, but there is no space in the crowded city and little room for secrets. Cheung and Leung are two of the biggest stars in Asia. Their pairing here as unrequited lovers is ironic because of their images as the usual winners in such affairs. This is the kind of story that could be remade by Tom Hanks and Meg Ryan, although in the Hollywood version, there'd be a happy ending. That would kind of miss the point and release the tension, I think; the thrust of Wong's film is that paths cross but intentions rarely do. In his other films, like "Chungking Express," his characters sometimes just barely miss connecting, and here again key things are said in the wrong way at the wrong time. Instead of asking us to identify with this couple, as an American film would, Wong asks us to empathize with them; that is a higher and more complex assignment, with greater rewards. The movie is physically lush. The deep colors of film noir saturate the scenes Reds, yellows, browns, deep shadows. One scene opens with only a coil of cigarette smoke, and then reveals its characters. In the hallway outside the two apartments, the camera slides back and forth, emphasizing not their nearness but that there are two apartments, not one. The most ingenious device in the story is the way Chow and Su play-act imaginary scenes between their cheating spouses. "Do you have a mistress?" she asks, and we think she is asking Chow, but actually she is asking her husband, as played by Chow. There is a slap, not as hard as it would be with a real spouse. They wound themselves with imaginary dialogue in which their cheating partners laugh about them. "I didn't expect it to hurt so much," Su says, after one of their imaginary scenarios. Wong Kar-wai leaves the cheating couple offscreen. Movies about adultery are almost always about the adulterers, but the critic Elvis Mitchell observes that the heroes here are "the characters who are usually the victims in a James M. Cain story." Their spouses may sin in Singapore, Tokyo or a downtown love hotel, but they will never sin on the screen of this movie, because their adultery is boring and commonplace, while the reticence of Chow and Su elevates their love to a kind of noble perfection. Their lives are as walled in as their cramped living quarters. They have more money than places to spend it. Still dressed for the office, she dashes out to a crowded alley to buy noodles. Sometimes they meet on the grotty staircase. Often it is raining. Sometimes they simply talk on the sidewalk. Lovers do not notice where they are, do not notice that they repeat themselves. It isn't repetition, anyway-it's reassurance. And when you're holding back and speaking in code, no conversation is boring, because the empty spaces are filled by your desires. Roger Ebert Roger Ebert was the film critic of the Chicago Sun-Times from 1967 until his death in 2013. In 1975, he won the Pulitzer Prize for distinguished criticism. Now playing Film Credits In the Mood for Love 2001 Rated NR for thematic elements and brief language. 97 minutes Latest blog posts about 11 hours ago 1 day ago 1 day ago 2 days ago Comments
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